Le stress est le résultat d’une contrainte externe subie par un organisme donné.
En réponse, cet organisme s’adapte pour générer un nouvel équilibre.

Pour l’Humain, le stress stimule l’accommodation, le développement de nouvelles ressources.
Il nous met en mouvement, attise notre créativité, soutient notre motivation dans un bon esprit de compétition…..

….Tant que son intensité et sa durée demeurent inférieures à notre capacité d’adaptation !

Tout se complique dès que notre énergie n’est plus au niveau des exigences de notre environnement. Le moindre traumatisme, conflit, frustration et même les changements nous deviennent insupportables.

On parle alors de mauvais stress : les processus psychologiques et physiologiques d’adaptation ne parviennent plus à répondre à la trop forte accumulation de tensions et entraînent des conséquences pour le moins pénibles (voire dangereuses) pour l’ensemble de notre organisme : épuisement nerveux (on se réveille fatigué), douleurs physiques diverses (dos, épiderme, digestion,), tachycardie, irritabilité (la moindre contrariété nous devient intolérable), difficulté de concentration, anxiété chronique, crise d’angoisse, insomnie etc…..

Lorsque vos enfants ou vous-même êtes victimes d’un traumatisme (accident, agression, forte déception, divorce, deuil inattendu…), il est important de pouvoir libérer son état émotionnel auprès d’un psychothérapeute . Cela peut éviter des souffrances apparaissant parfois plusieurs années plus tard. Ce n’est pas pour rien que des cellules de soutien psychologique sont mises en place après des traumatismes collectifs.
Comment je traite le stress par la sophrologie.

Tout d’abord, chez les personnes stressées, on constate une suractivité de certaines zones du cortex et une sous-activité d’autres régions du cerveau limbique (l’hippocampe) . Comme un muscle, notre cerveau est plastique : la surexploitation de certaines parties finit par provoquer un déséquilibre. De plus, notre niveau d’énergie baisse au fil des ans. Ce que nous étions capable d’encaisser il y a 5 ou 10 ans nous épuise aujourd’hui.

Je vous apprends des exercices simples de sophrologie dynamique (contractions et étirements musculaires doux destinés à libérer les tensions psychocorporelles). Pratiqués régulièrement chez soi pendant 5 à 10 minutes 2 à 3 fois par jour, ils permettent de remettre en route certaines zones sous-exploitées du cerveau.

Je vous fais pratiquer des exercices de sophro-relaxation pour vous ressourcer et apprendre à maîtriser vos émotions. Ces exercices peuvent être refaits chez vous chaque fois que vous en ressentez le besoin. Cette approche purement sophrologique s’étale sur 4 à 6 séances.

Comment je traite le stress par la psychologie et la thérapie cognitive.

Force est de constater qu’une situation donnée va provoquer notre effondrement alors que certains vont la traverser facilement. Et inversement, nous passons au travers d’autres situations pénibles avec une facilité qui étonne notre entourage. Il y a donc des sensibilités particulières face aux différentes situations stressantes.

Dans un travail plus approfondi, je vous apprends à vous « recentrer » sur vos émotions et vos essentiels. Vous rendre disponible à l’écoute de vous-même.
Ressentir et prévenir les situations anxiogènes et se protéger..
Il convient d’adopter des habitudes de ressourcement, d’écologie comportementale et relationnelle.

Il ne s’agit pas d’aller exclusivement vers l’évitement des situations de stress. Il convient de bien mesurer ce qui est de votre perception et ce qui est de la réalité factuelle. On peut être tenté d’échapper au stress en changeant le décor (quitter son conjoint, son emploi, ses études…) pour s’apercevoir quelques mois plus tard que l’on a recréé les mêmes impasses (avec un autre employeur, un ou une autre partenaire, …). Il faut ici comprendre quels sont vos réactions limitantes et quels sont leurs fondements.

Au fil des semaines, je vous accompagne dans la prise de conscience de vos propres limites.

L’objectif est de mettre en lumière vos contradictions cognitives et émotionnelles pour arriver à les synchroniser. Nous gâchons une énergie folle dans ces distorsions :

« – Je ne supporte plus mon mari mais je me sens incapable de vivre seule … »

« -J’ai très envie de l’enfant que nous attendons, mais j’ai l’intime conviction de ne pas être assez compétent pour m’en occuper. Je redoute de devenir père. Plus on se rapproche de l’accouchement, et moins j’arrive à me projeter et à me mobiliser dans ma vie conjugale. Ma femme le sent et le malaise nous gagne. »

« Pour me déstresser, je mange. Comme je grossis, j’ai honte de moi. Et ça me stresse ! »

« J’ai peur d’échouer. Donc je n’entreprends rien. Je me vois végéter et je perds confiance en moi… »

Apprendre à vous connaître et vous réconcilier avec vous-même pour doucement prendre le contrôle de votre vie en faisant lentement évoluer vos croyances est le meilleur moyen de vous sentir durablement en équilibre.

Cheminer vers soi-même est sûrement le plus beau voyage que l’on puisse s’offrir dans une vie

En bref :

N’attendez pas le burn-out pour réagir. Il vaut mieux intervenir avant que des dérèglements chroniques s’installent avec leur cortège de conséquences physiologiques.

Les principaux signes qui doivent vous inciter à consulter sont :

– Irritabilité et/ou anxiété

– Avoir vécu ou avoir été témoin d’un évènement traumatisant.

– Se réveiller fatigué. Une mauvaise qualité de sommeil.

– Perte d’énergie et d’envie.

-Difficultés de concentration, perte d’efficacité

– Migraines, douleurs diverses sans causes physiologiques probantes.

Jean-Louis Lamouille est psychologue du travail à Grenoble / Isère.
Il intervient sur toute la région Rhône Alpes en entreprise (Diagnostic social) pour la qualité de vie au travail, la prévention du burn-out, les risques psycho-sociaux.
Il pratique la sophrologie, la Gestalt-thérapie et la médiation.

Le stress est le résultat d’une contrainte externe subie par un organisme donné.
En réponse, cet organisme s’adapte pour générer un nouvel équilibre.

Pour l’Humain, le stress stimule l’accommodation, le développement de nouvelles ressources.
Il nous met en mouvement, attise notre créativité, soutient notre motivation dans un bon esprit de compétition…..

….Tant que son intensité et sa durée demeurent inférieures à notre capacité d’adaptation !

Tout se complique dès que notre énergie n’est plus au niveau des exigences de notre environnement. Le moindre traumatisme, conflit, frustration et même les changements nous deviennent insupportables.

On parle alors de mauvais stress : les processus psychologiques et physiologiques d’adaptation ne parviennent plus à répondre à la trop forte accumulation de tensions et entraînent des conséquences pour le moins pénibles (voire dangereuses) pour l’ensemble de notre organisme : épuisement nerveux (on se réveille fatigué), douleurs physiques diverses (dos, épiderme, digestion,), tachycardie, irritabilité (la moindre contrariété nous devient intolérable), difficulté de concentration, anxiété chronique, crise d’angoisse, insomnie etc…..

Lorsque vos enfants ou vous-même êtes victimes d’un traumatisme (accident, agression, forte déception, divorce, deuil inattendu…), il est important de pouvoir libérer son état émotionnel auprès d’un psychothérapeute . Cela peut éviter des souffrances apparaissant parfois plusieurs années plus tard. Ce n’est pas pour rien que des cellules de soutien psychologique sont mises en place après des traumatismes collectifs.
Comment je traite le stress par la sophrologie.

Tout d’abord, chez les personnes stressées, on constate une suractivité de certaines zones du cortex et une sous-activité d’autres régions du cerveau limbique (l’hippocampe) . Comme un muscle, notre cerveau est plastique : la surexploitation de certaines parties finit par provoquer un déséquilibre. De plus, notre niveau d’énergie baisse au fil des ans. Ce que nous étions capable d’encaisser il y a 5 ou 10 ans nous épuise aujourd’hui.

Je vous apprends des exercices simples de sophrologie dynamique (contractions et étirements musculaires doux destinés à libérer les tensions psychocorporelles). Pratiqués régulièrement chez soi pendant 5 à 10 minutes 2 à 3 fois par jour, ils permettent de remettre en route certaines zones sous-exploitées du cerveau.

Je vous fais pratiquer des exercices de sophro-relaxation pour vous ressourcer et apprendre à maîtriser vos émotions. Ces exercices peuvent être refaits chez vous chaque fois que vous en ressentez le besoin. Cette approche purement sophrologique s’étale sur 4 à 6 séances.

Comment je traite le stress par la psychologie et la thérapie cognitive.

Force est de constater qu’une situation donnée va provoquer notre effondrement alors que certains vont la traverser facilement. Et inversement, nous passons au travers d’autres situations pénibles avec une facilité qui étonne notre entourage. Il y a donc des sensibilités particulières face aux différentes situations stressantes.

Dans un travail plus approfondi, je vous apprends à vous « recentrer » sur vos émotions et vos essentiels. Vous rendre disponible à l’écoute de vous-même.
Ressentir et prévenir les situations anxiogènes et se protéger..
Il convient d’adopter des habitudes de ressourcement, d’écologie comportementale et relationnelle.

Il ne s’agit pas d’aller exclusivement vers l’évitement des situations de stress. Il convient de bien mesurer ce qui est de votre perception et ce qui est de la réalité factuelle. On peut être tenté d’échapper au stress en changeant le décor (quitter son conjoint, son emploi, ses études…) pour s’apercevoir quelques mois plus tard que l’on a recréé les mêmes impasses (avec un autre employeur, un ou une autre partenaire, …). Il faut ici comprendre quels sont vos réactions limitantes et quels sont leurs fondements.

Au fil des semaines, je vous accompagne dans la prise de conscience de vos propres limites.

L’objectif est de mettre en lumière vos contradictions cognitives et émotionnelles pour arriver à les synchroniser. Nous gâchons une énergie folle dans ces distorsions :

« – Je ne supporte plus mon mari mais je me sens incapable de vivre seule … »

« -J’ai très envie de l’enfant que nous attendons, mais j’ai l’intime conviction de ne pas être assez compétent pour m’en occuper. Je redoute de devenir père. Plus on se rapproche de l’accouchement, et moins j’arrive à me projeter et à me mobiliser dans ma vie conjugale. Ma femme le sent et le malaise nous gagne. »

« Pour me déstresser, je mange. Comme je grossis, j’ai honte de moi. Et ça me stresse ! »

« J’ai peur d’échouer. Donc je n’entreprends rien. Je me vois végéter et je perds confiance en moi… »

Apprendre à vous connaître et vous réconcilier avec vous-même pour doucement prendre le contrôle de votre vie en faisant lentement évoluer vos croyances est le meilleur moyen de vous sentir durablement en équilibre.

Cheminer vers soi-même est sûrement le plus beau voyage que l’on puisse s’offrir dans une vie

En bref :

N’attendez pas le burn-out pour réagir. Il vaut mieux intervenir avant que des dérèglements chroniques s’installent avec leur cortège de conséquences physiologiques.

Les principaux signes qui doivent vous inciter à consulter sont :

– Irritabilité et/ou anxiété

– Avoir vécu ou avoir été témoin d’un évènement traumatisant.

– Se réveiller fatigué. Une mauvaise qualité de sommeil.

– Perte d’énergie et d’envie.

-Difficultés de concentration, perte d’efficacité

– Migraines, douleurs diverses sans causes physiologiques probantes.

Jean-Louis Lamouille est psychologue du travail à Grenoble / Isère.
Il intervient sur toute la région Rhône Alpes en entreprise (Diagnostic social) pour la qualité de vie au travail, la prévention du burn-out, les risques psycho-sociaux.
Il pratique la sophrologie, la Gestalt-thérapie et la médiation.