Burn-out, nous sommes tous des sentinelles.

 Spécialisé dans l’accompagnement du burn-out ou burnout je reçois en cabinet et j’intervient en entreprise sur Grenoble et tout l’Isère dans une démarche informative (conférences), préventive (analyse de la pratique, accompagnement au management, diagnostique social) et curative (sortir du burn-out).

Repérer  les changements,

  • D’une manière générale, soyez vigilant pour vous-même et vos collègues sur l’engagement excessif dans le travail (souvent encouragé par le collectif).
  • Perte du plaisir à venir au travail.
  • Observez chez vous-même et vos collègues une variation de poids (jusqu’à + ou – 10 KG en 3 mois).
  • Cherchez à repérer le conflit interne que vous entretenez (ou que vos collègues entretiennent) entre les « désirs » et les « contraintes » qui bloquent l’accès à la réalisation de ces « désirs ».
  • L’augmentation du niveau d’anxiété, d’irritabilité et de fatigue (associé à une humeur basse).
  • Le repos ne permet plus la récupération (déjà fatigué le lundi matin).
  • L’augmentation du temps de travail qui empiète sur les pauses déjeuner, soirées, w-e…
  • Baisse d’efficacité et de « fluidité sociale » (repli sur soi).
  • Plainte sur des douleurs musculo-squelettiques, digestives, maux de tête.
  • Détérioration de l’ambiance de travail.
  • Montée des trajectoires individuelles au détriment du collectif.

Prévenir le burn-out chez nos collègues :

  • Dépasser notre propre réaction de rejet face à un individu qui devient cynique et taciturne.
  • Attirer l’attention du collectif sur la situation (collègues proches, partenaires sociaux, médecin ; psychologue du travail, infirmier du travail, assistant social..).
  • Offrir une écoute bienveillante, sans jugement, et de préférence hors du cadre de l’entreprise. (éviter les conseils « -Mais tu devrais faire comme ci, tu ne devrais pas faire comme ça ! » qui renforcent le sentiment d’être nul).
  • Motiver le collaborateur à se faire aider par un spécialiste (Il y a un déni de l’état d’épuisement chez tous les patients victimes de burn-out).

Prévenir le burn-out  chez soi : maintenir une écologie dans sa relation au travail

  • Combien d’hommes et de femmes sont tombés au champ du travail qui se voulait parfait ?
    …. Sortez de la croyance que : « Il existe une solution idéale à toute situation et que votre devoir consiste à la trouver et à la mettre en œuvre à tout prix. Si je n’y parviens pas, mon incompétence explosera à la vue de tous, et chacun comprendra que je suis un imposteur dans ma fonction. » Acceptez sans culpabilité ni honte de ne n’être qu’humain ; d’avoir des limites. Aucun challenge ne mérite de ruiner sa santé.
  • Collaborateur providentiel, votre attitude hyper responsable rassure. Elle est encouragée par l’organisation (collègues, subordonnés, hiérarchie). A force, tout le monde compte dessus et votre surinvestissement est considéré comme normal. Le jour où vous fléchissez, vous êtes mortifié d’observer de l’agacement et de la déception dans votre entourage.
  • Vous êtes le principal responsable de votre santé : TMS, maux de têtes, dos, ventre, fatigue chronique, perte d’enthousiasme, autodépréciation, irritabilité. Autant de signaux que votre entourage peut chercher à minimiser pour vous rassurer et pour SE rassurer. Mais s’ils ne sont pas entendus, ces signaux vont contraindre votre corps à utiliser des maux encore plus forts pour se faire entendre.
  • « La charité bien ordonnée commence par soi-même ». La bienveillance à son égard est un préalable à la bienveillance durable au bénéfice d’autrui. Il est contreproductif d’attendre que la corde ait cassée pour reconnaitre son mal-être, exposer ses besoins et  réclamer des transformations.
    Quelles limites je me fixe avant qu’elles ne s’imposent à moi dans la douleur ?

Le matin en partant travailler, quelle est la part de plaisir ? De peur ? De peine ?
Est-ce que je m’autorise à énoncer mes limites ?
Qu’est ce qu’il me faudrait pour aller mieux ?
Suis-je capable de proposer des transformations acceptables pour le collectif ?

Si la charge morbide de l’environnement n’est plus gérable, comment m’en extraire ? (Vacances, arrêt maladie, formation, reclassement, mutation, changement d’employeur, réaménagement de ma vie privée… Toutes les options doivent être posées, réfléchies et confrontées avec divers interlocuteurs pertinents et bienveillants.

Jean-Louis Lamouille Psychologue du travail & Ergonome, spécialiste diagnostic social RRPS  (Ressources & Risques Psycho-sociaux).

Pour savoir repérer où vous en êtes dans le processus de burn-out, vous pouvez vous référer à l’article « Auto-évaluation burn-out ».

Jean-Louis Lamouille est psychologue du travail à Grenoble / Isère.
Il intervient sur toute la région Rhône Alpes en entreprise (Diagnostic social) pour la qualité de vie au travail, la prévention du burn-out, les risques psycho-sociaux.
Il pratique la sophrologie, la Gestalt-thérapie et la médiation.

Burn-out, nous sommes tous des sentinelles.

 Spécialisé dans l’accompagnement du burn-out ou burnout je reçois en cabinet et j’intervient en entreprise sur Grenoble et tout l’Isère dans une démarche informative (conférences), préventive (analyse de la pratique, accompagnement au management, diagnostique social) et curative (sortir du burn-out).

Repérer  les changements,

  • D’une manière générale, soyez vigilant pour vous-même et vos collègues sur l’engagement excessif dans le travail (souvent encouragé par le collectif).
  • Perte du plaisir à venir au travail.
  • Observez chez vous-même et vos collègues une variation de poids (jusqu’à + ou – 10 KG en 3 mois).
  • Cherchez à repérer le conflit interne que vous entretenez (ou que vos collègues entretiennent) entre les « désirs » et les « contraintes » qui bloquent l’accès à la réalisation de ces « désirs ».
  • L’augmentation du niveau d’anxiété, d’irritabilité et de fatigue (associé à une humeur basse).
  • Le repos ne permet plus la récupération (déjà fatigué le lundi matin).
  • L’augmentation du temps de travail qui empiète sur les pauses déjeuner, soirées, w-e…
  • Baisse d’efficacité et de « fluidité sociale » (repli sur soi).
  • Plainte sur des douleurs musculo-squelettiques, digestives, maux de tête.
  • Détérioration de l’ambiance de travail.
  • Montée des trajectoires individuelles au détriment du collectif.

Prévenir le burn-out chez nos collègues :

  • Dépasser notre propre réaction de rejet face à un individu qui devient cynique et taciturne.
  • Attirer l’attention du collectif sur la situation (collègues proches, partenaires sociaux, médecin ; psychologue du travail, infirmier du travail, assistant social..).
  • Offrir une écoute bienveillante, sans jugement, et de préférence hors du cadre de l’entreprise. (éviter les conseils « -Mais tu devrais faire comme ci, tu ne devrais pas faire comme ça ! » qui renforcent le sentiment d’être nul).
  • Motiver le collaborateur à se faire aider par un spécialiste (Il y a un déni de l’état d’épuisement chez tous les patients victimes de burn-out).

Prévenir le burn-out  chez soi : maintenir une écologie dans sa relation au travail

  • Combien d’hommes et de femmes sont tombés au champ du travail qui se voulait parfait ?
    …. Sortez de la croyance que : « Il existe une solution idéale à toute situation et que votre devoir consiste à la trouver et à la mettre en œuvre à tout prix. Si je n’y parviens pas, mon incompétence explosera à la vue de tous, et chacun comprendra que je suis un imposteur dans ma fonction. » Acceptez sans culpabilité ni honte de ne n’être qu’humain ; d’avoir des limites. Aucun challenge ne mérite de ruiner sa santé.
  • Collaborateur providentiel, votre attitude hyper responsable rassure. Elle est encouragée par l’organisation (collègues, subordonnés, hiérarchie). A force, tout le monde compte dessus et votre surinvestissement est considéré comme normal. Le jour où vous fléchissez, vous êtes mortifié d’observer de l’agacement et de la déception dans votre entourage.
  • Vous êtes le principal responsable de votre santé : TMS, maux de têtes, dos, ventre, fatigue chronique, perte d’enthousiasme, autodépréciation, irritabilité. Autant de signaux que votre entourage peut chercher à minimiser pour vous rassurer et pour SE rassurer. Mais s’ils ne sont pas entendus, ces signaux vont contraindre votre corps à utiliser des maux encore plus forts pour se faire entendre.
  • « La charité bien ordonnée commence par soi-même ». La bienveillance à son égard est un préalable à la bienveillance durable au bénéfice d’autrui. Il est contreproductif d’attendre que la corde ait cassée pour reconnaitre son mal-être, exposer ses besoins et  réclamer des transformations.
    Quelles limites je me fixe avant qu’elles ne s’imposent à moi dans la douleur ?

Le matin en partant travailler, quelle est la part de plaisir ? De peur ? De peine ?
Est-ce que je m’autorise à énoncer mes limites ?
Qu’est ce qu’il me faudrait pour aller mieux ?
Suis-je capable de proposer des transformations acceptables pour le collectif ?

Si la charge morbide de l’environnement n’est plus gérable, comment m’en extraire ? (Vacances, arrêt maladie, formation, reclassement, mutation, changement d’employeur, réaménagement de ma vie privée… Toutes les options doivent être posées, réfléchies et confrontées avec divers interlocuteurs pertinents et bienveillants.

Jean-Louis Lamouille Psychologue du travail & Ergonome, spécialiste diagnostic social RRPS  (Ressources & Risques Psycho-sociaux).

Pour savoir repérer où vous en êtes dans le processus de burn-out, vous pouvez vous référer à l’article « Auto-évaluation burn-out ».

Jean-Louis Lamouille est psychologue du travail à Grenoble / Isère.
Il intervient sur toute la région Rhône Alpes en entreprise (Diagnostic social) pour la qualité de vie au travail, la prévention du burn-out, les risques psycho-sociaux.
Il pratique la sophrologie, la Gestalt-thérapie et la médiation.