Le résultat d’une bonne éducation abouti sur un « -merci pour tout, au revoir. On passera à l’occasion un de ces dimanche !…. ». Il pose en profondeur chez le parent la question d’un attachement dans la construction de l’altérité de l’enfant, ou alors l’agrippement dans la réassurance de l’égo parental.
Approche psychanalytique :
L’inhibition consiste à entendre sa pulsion puis à l’OBLIGER à passer par le crible de notre intelligence avant de l’exprimer par un comportement (qui, du coup, devient socialement adapté). Pour l’enfant, c’est une épreuve en même temps qu’une promesse : « -en dépassant ta frustration immédiate, tu t’approprie le pouvoir de te construire pour devenir un adulte beau et heureux ». Si nous croyons protéger notre enfant en lui épargnant ces frustrations, nous lui mentons. En restant l’otage de ses pulsions, il sera tôt ou tard rattraper par le réel et vivra l’ajustement comme un amputation punitive.
Ainsi, le parent apprend lentement au nourrisson à retarder la satisfaction de son besoin. Cet apprentissage démarre le premier jour :
« -Oui mon bébé, j’entends que tu pleures. Mais je fini de me doucher et de me sécher et j’arrive pour m’occuper de toi ! » Le parent s’autorise ainsi à respecter ses propres besoins (repos, détente, relations sociales, loisirs, travail….) en même temps qu’il prend en charge les besoin du nourrisson.
D’abord l’ inhibition ombilicale :
Le premier grand déchirement l’ancien testament symbolise comme l’expulsion du paradis. Parce qu’ils ont croqué dans le fruit de la connaissance (la conscience de soi), Adam et Eve s’aperçoivent qu’ils sont nus, qu’ils ont froid, qu’ils ont faim, qu’ils ont peur. Le rôle du parent est d’accompagner cette autonomie trop soudaine. Nourrir, réchauffer, protéger le nourrisson. Le parent doit alors faire attention de na pas « tomber » dans le landau : laisser tranquillement dormir l’enfant pendant qu’il bouquine ou regarde une émission de télé… Laisser un moment l’enfant pleurer alors qu’on finit son cours de yoga, poser le landau dans un coin du salon de coiffure pendant que la maman se fait une beauté. Il revient aux parents d’initier en douceur le travail de détachement : exposition à la lumière et aux bruits la journée et retour au calme crépusculaire pour imprimer un rythme circadien.
Inhibition orale :
Freud disait que l’enfant est un « pervers narcissique ». Il n’a aucune considération pour son parent. Le sein de la mère n’existe que comme le prolongement de la faim du bébé.
Il la réveille tous les 3-4 heures pour qu’elle réponde à son exigence de faim, de propreté, de sécurité (sentiment de sécurité profondément perturbé si les besoins de bases ne sont pas assez entendus). Il convient de réduire la relation nocturne au nourrisson uniquement au nourrissement. Le parent lui expliquant que la nuit, nous avons besoin de dormi et que nous passerons plus de temps avec lui dans des interactions demain lorsqu’il fera jour. Il faut également inclure le père pour prendre en charge une partie repas nocturnes. Prévoir également l’interventions de tiers soignants (grands parents, famille, nounou…) dans la journée pour permettre à la mère de s’occuper d’elle.
C’est dans à la douleur de l’abandon, que l’enfant prendra le risque de se tourner vers les bras accueillant de sa nounou et vers ses petits camarades de jeux. La douleur sera d’autant moins grande qu’il aura préalablement construit l’expérience sécurisante d’avoir entendu son parents lui dire « -calme toi un peu, je suis occupé et je vais m’occuper de toi bientôt, ne soit pas si impatient », puis de l’avoir vu partir, mais toujours revenir.
Inhibition anale (vers 3 ans) :
A l’occasion de la rétention, le bébé prend conscience de son pouvoir sur lui-même : « -Je retiens ou je libère mes excréments. Personne ne peut le choisir à ma place ! ». C’est le moment où il explore sa force d’opposition : « -NON ! ». A nous de négocier avec lui une position où la place de chacun est respectée. « -Tu refuses de manger maintenant. OK je vais entamer une autre activité. Mais ça veut dire que dans l’heure qui vient, je ne serais plus disponible pour te donner à manger. Donc, si tu pleures parce que tu as faim dans ¼ d’heure, je ne pourrais pas m’occuper de toi immédiatement ». Chacun prend sa part dans la relation. Le parent ne s’affaisse pas à passer une heure à vouloir le faire manger, ne le prive pas non plus de son repas et ne l’écrase pas de sa toute-puissance en le gavant de force. Chacun prend sa responsabilité dans la relation. Le bébé assume une partie des conséquences de ses choix et le parent en assume une autre partie. Ce mouvement de transfert de responsabilité constitue l’essence même de l’éducation. L’enfant doit en prendre sa toute petite part dès le début pour finir en assumant 100% de la responsabilité en fin d’adolescence.
Inhibition de l’autre sexe (vers 4-5 ans) :
Très prégnantes à l’époque de Freud, les attributions de genre, sont des contraintes qui n’ont de légitimité que la construction sociale. Dans notre société occidentale ces contraintes idiotes sont en train de tomber. Il convient aux parents d’encourager ce mouvement en expliquant à la petite fille qu’elle n’a rien de moins qu’un petit garçon. Elle possède en elle le pouvoir de créer des bébés, mais ce pouvoir supplémentaire n’est pas visible de l’extérieur. Il se trouve caché dans son ventre. Reconfirmation de sa puissance féminine.
Les garçons et les filles ont les même droits et les mêmes devoirs. Ils ont l’un comme l’autre le droit d’être triste et de pleurer, le droit de désirer et de demander, le droit d’être en colère…..
…..Et le même devoir de gérer leur agressivité, de participer à la vie collective dans la famille, de s’adonner aux jeux qui les intéressent.
Inhibition génitale œdipienne (Vers 6-7 ans). :
-« Si seulement Papa n’était pas là je pourrais vivre le parfait amour avec Maman » se dit le petit garçon.
-« Si seulement Maman n’était pas là je pourrais vivre le parfait amour avec Papa » se dit la petite fille.
L’enfant, dans son bas ventre ressent une émotion qu’il investirait volontiers chez son parent du sexe opposé.
Le parent ramène l’enfant à sa place en lui expliquant que ce n’est pas possible. Que Papa et Maman sont amoureux et qu’il n’y a pas de place pour l’enfant à cet endroit. La frustration incitera l’enfant à investir sa pulsion sexuelle ailleurs. C’est l’âge où il va s’adonner à de l’anatomie comparer avec ses copains et ses copines. C’est à cet âge que j’ai expliqué à ma fille qu’elle avait le droit de jouer avec son sexe, mais pas en public et, si elle partageait cela, ce ne pouvait être qu’avec des camarades de son âge et exclusivement avec le consentement de chacun. JAMAIS personne ne peut y accéder si l’enfant ne l’a pas CHOISI. C’est ainsi, qu’à l’âge de 8 ans, m’a fille racontait à sa maman qu’elle avait fait l’expérience de « s’embrasser comme des amoureux » avec une copine. Nous n’avons ni encourager ni freiner de mouvement indispensable pour que l’enfant se confirme dans sa puissance sexuelle et prépare dans l’enfance la rencontre amoureuse qu’il vivra dans l’adolescence.
Approche de la psychologie moderne :
Un amour inconditionnel :
L’enfant doit grandir dans le sentiment qu’il est unique est précieux. Mon regard de parent est occupé à plein de choses et, lorsque je suis face à toi, je te vois et je te trouve merveilleux. Quoi que tu fasses, je t’aime. MEME QUAND TU FAIS DES CHOSES QUI ME DEPLAISENT.
Il est important dans nos interventions correctives de séparer l’acte de l’individu. Ainsi, lorsque mon fils vol, je le punis. Il n’est pas un voleur. Il demeure l’enfant fabuleux que j’aime par-dessus tout, mais l’acte qu’il a commis n’est pas acceptable et me contraint à le punir pour qu’il répare se geste malencontreux. A l’inverse, tout ce qu’il réalise de bien est le juste reflet de cet enfant merveilleux : peintre, musicien, gymnaste, danseur…. Toutes ses qualités témoignent de sa personnalité, tandis que toutes ses imperfections nous indiquent à tous les deux, qu’il n’avait pas suffisamment réfléchi à ses actes. Il est en tout cas toujours plus constructif de souligner les bons comportements que de condamner les comportements inappropriés. Ainsi pour l’enfant, commettre une bêtise n’est rien de plus que l’occasion de comprendre que ce n’était pas le bon chemin et d’assumer (avec l’aide du parent si nécessaire) la réparation sans générer un trop fort sentiment de culpabilité et d’incompétence.
Un parent acceptable :
Dans mon rôle éducatif, je fais de mon mieux ….. et pour le reste, je fais ce que je peux.
En éducation, comme en politique ou en management, la perfection n’existe pas ! Nos enfants auront des choses à nous reprocher. Et c’est bien ainsi. Evitons les principales erreurs, informons-nous, laissons-nous sentir si notre attitude est juste pour nous et quels besoins l’enfant exprime. Un mixte entre les connaissances théoriques de l’éducation, le ressenti des parents et le ressenti des enfants donne généralement un assez bon résultat.
La construction de l’enfant pourrait se résumer au résultat de la multiplication suivante :
Réponse aux besoins corporels X témoignages d’affection X stimulation intellectuelle X accompagnement à la sociabilité. Inutile de chercher à surperformer sur certains facteurs. Par contre soyons très vigilent à ce qu’aucun des facteurs ne soit inférieur à 1. Si un seul de ces facteurs est égal à 0, alors l’ensemble est réduit à 0.
Jean-Louis Lamouille est psychologue du travail à Grenoble / Isère.
Il intervient sur toute la région Rhône Alpes en entreprise (Diagnostic social) pour la qualité de vie au travail, la prévention du burn-out, les risques psycho-sociaux.
Il pratique la sophrologie, la Gestalt-thérapie et la médiation.
Le résultat d’une bonne éducation abouti sur un « -merci pour tout, au revoir. On passera à l’occasion un de ces dimanche !…. ». Il pose en profondeur chez le parent la question d’un attachement dans la construction de l’altérité de l’enfant, ou alors l’agrippement dans la réassurance de l’égo parental.
Approche psychanalytique :
L’inhibition consiste à entendre sa pulsion puis à l’OBLIGER à passer par le crible de notre intelligence avant de l’exprimer par un comportement (qui, du coup, devient socialement adapté). Pour l’enfant, c’est une épreuve en même temps qu’une promesse : « -en dépassant ta frustration immédiate, tu t’approprie le pouvoir de te construire pour devenir un adulte beau et heureux ». Si nous croyons protéger notre enfant en lui épargnant ces frustrations, nous lui mentons. En restant l’otage de ses pulsions, il sera tôt ou tard rattraper par le réel et vivra l’ajustement comme un amputation punitive.
Ainsi, le parent apprend lentement au nourrisson à retarder la satisfaction de son besoin. Cet apprentissage démarre le premier jour :
« -Oui mon bébé, j’entends que tu pleures. Mais je fini de me doucher et de me sécher et j’arrive pour m’occuper de toi ! » Le parent s’autorise ainsi à respecter ses propres besoins (repos, détente, relations sociales, loisirs, travail….) en même temps qu’il prend en charge les besoin du nourrisson.
D’abord l’ inhibition ombilicale :
Le premier grand déchirement l’ancien testament symbolise comme l’expulsion du paradis. Parce qu’ils ont croqué dans le fruit de la connaissance (la conscience de soi), Adam et Eve s’aperçoivent qu’ils sont nus, qu’ils ont froid, qu’ils ont faim, qu’ils ont peur. Le rôle du parent est d’accompagner cette autonomie trop soudaine. Nourrir, réchauffer, protéger le nourrisson. Le parent doit alors faire attention de na pas « tomber » dans le landau : laisser tranquillement dormir l’enfant pendant qu’il bouquine ou regarde une émission de télé… Laisser un moment l’enfant pleurer alors qu’on finit son cours de yoga, poser le landau dans un coin du salon de coiffure pendant que la maman se fait une beauté. Il revient aux parents d’initier en douceur le travail de détachement : exposition à la lumière et aux bruits la journée et retour au calme crépusculaire pour imprimer un rythme circadien.
Inhibition orale :
Freud disait que l’enfant est un « pervers narcissique ». Il n’a aucune considération pour son parent. Le sein de la mère n’existe que comme le prolongement de la faim du bébé.
Il la réveille tous les 3-4 heures pour qu’elle réponde à son exigence de faim, de propreté, de sécurité (sentiment de sécurité profondément perturbé si les besoins de bases ne sont pas assez entendus). Il convient de réduire la relation nocturne au nourrisson uniquement au nourrissement. Le parent lui expliquant que la nuit, nous avons besoin de dormi et que nous passerons plus de temps avec lui dans des interactions demain lorsqu’il fera jour. Il faut également inclure le père pour prendre en charge une partie repas nocturnes. Prévoir également l’interventions de tiers soignants (grands parents, famille, nounou…) dans la journée pour permettre à la mère de s’occuper d’elle.
C’est dans à la douleur de l’abandon, que l’enfant prendra le risque de se tourner vers les bras accueillant de sa nounou et vers ses petits camarades de jeux. La douleur sera d’autant moins grande qu’il aura préalablement construit l’expérience sécurisante d’avoir entendu son parents lui dire « -calme toi un peu, je suis occupé et je vais m’occuper de toi bientôt, ne soit pas si impatient », puis de l’avoir vu partir, mais toujours revenir.
Inhibition anale (vers 3 ans) :
A l’occasion de la rétention, le bébé prend conscience de son pouvoir sur lui-même : « -Je retiens ou je libère mes excréments. Personne ne peut le choisir à ma place ! ». C’est le moment où il explore sa force d’opposition : « -NON ! ». A nous de négocier avec lui une position où la place de chacun est respectée. « -Tu refuses de manger maintenant. OK je vais entamer une autre activité. Mais ça veut dire que dans l’heure qui vient, je ne serais plus disponible pour te donner à manger. Donc, si tu pleures parce que tu as faim dans ¼ d’heure, je ne pourrais pas m’occuper de toi immédiatement ». Chacun prend sa part dans la relation. Le parent ne s’affaisse pas à passer une heure à vouloir le faire manger, ne le prive pas non plus de son repas et ne l’écrase pas de sa toute-puissance en le gavant de force. Chacun prend sa responsabilité dans la relation. Le bébé assume une partie des conséquences de ses choix et le parent en assume une autre partie. Ce mouvement de transfert de responsabilité constitue l’essence même de l’éducation. L’enfant doit en prendre sa toute petite part dès le début pour finir en assumant 100% de la responsabilité en fin d’adolescence.
Inhibition de l’autre sexe (vers 4-5 ans) :
Très prégnantes à l’époque de Freud, les attributions de genre, sont des contraintes qui n’ont de légitimité que la construction sociale. Dans notre société occidentale ces contraintes idiotes sont en train de tomber. Il convient aux parents d’encourager ce mouvement en expliquant à la petite fille qu’elle n’a rien de moins qu’un petit garçon. Elle possède en elle le pouvoir de créer des bébés, mais ce pouvoir supplémentaire n’est pas visible de l’extérieur. Il se trouve caché dans son ventre. Reconfirmation de sa puissance féminine.
Les garçons et les filles ont les même droits et les mêmes devoirs. Ils ont l’un comme l’autre le droit d’être triste et de pleurer, le droit de désirer et de demander, le droit d’être en colère…..
…..Et le même devoir de gérer leur agressivité, de participer à la vie collective dans la famille, de s’adonner aux jeux qui les intéressent.
Inhibition génitale œdipienne (Vers 6-7 ans). :
-« Si seulement Papa n’était pas là je pourrais vivre le parfait amour avec Maman » se dit le petit garçon.
-« Si seulement Maman n’était pas là je pourrais vivre le parfait amour avec Papa » se dit la petite fille.
L’enfant, dans son bas ventre ressent une émotion qu’il investirait volontiers chez son parent du sexe opposé.
Le parent ramène l’enfant à sa place en lui expliquant que ce n’est pas possible. Que Papa et Maman sont amoureux et qu’il n’y a pas de place pour l’enfant à cet endroit. La frustration incitera l’enfant à investir sa pulsion sexuelle ailleurs. C’est l’âge où il va s’adonner à de l’anatomie comparer avec ses copains et ses copines. C’est à cet âge que j’ai expliqué à ma fille qu’elle avait le droit de jouer avec son sexe, mais pas en public et, si elle partageait cela, ce ne pouvait être qu’avec des camarades de son âge et exclusivement avec le consentement de chacun. JAMAIS personne ne peut y accéder si l’enfant ne l’a pas CHOISI. C’est ainsi, qu’à l’âge de 8 ans, m’a fille racontait à sa maman qu’elle avait fait l’expérience de « s’embrasser comme des amoureux » avec une copine. Nous n’avons ni encourager ni freiner de mouvement indispensable pour que l’enfant se confirme dans sa puissance sexuelle et prépare dans l’enfance la rencontre amoureuse qu’il vivra dans l’adolescence.
Approche de la psychologie moderne :
Un amour inconditionnel :
L’enfant doit grandir dans le sentiment qu’il est unique est précieux. Mon regard de parent est occupé à plein de choses et, lorsque je suis face à toi, je te vois et je te trouve merveilleux. Quoi que tu fasses, je t’aime. MEME QUAND TU FAIS DES CHOSES QUI ME DEPLAISENT.
Il est important dans nos interventions correctives de séparer l’acte de l’individu. Ainsi, lorsque mon fils vol, je le punis. Il n’est pas un voleur. Il demeure l’enfant fabuleux que j’aime par-dessus tout, mais l’acte qu’il a commis n’est pas acceptable et me contraint à le punir pour qu’il répare se geste malencontreux. A l’inverse, tout ce qu’il réalise de bien est le juste reflet de cet enfant merveilleux : peintre, musicien, gymnaste, danseur…. Toutes ses qualités témoignent de sa personnalité, tandis que toutes ses imperfections nous indiquent à tous les deux, qu’il n’avait pas suffisamment réfléchi à ses actes. Il est en tout cas toujours plus constructif de souligner les bons comportements que de condamner les comportements inappropriés. Ainsi pour l’enfant, commettre une bêtise n’est rien de plus que l’occasion de comprendre que ce n’était pas le bon chemin et d’assumer (avec l’aide du parent si nécessaire) la réparation sans générer un trop fort sentiment de culpabilité et d’incompétence.
Un parent acceptable :
Dans mon rôle éducatif, je fais de mon mieux ….. et pour le reste, je fais ce que je peux.
En éducation, comme en politique ou en management, la perfection n’existe pas ! Nos enfants auront des choses à nous reprocher. Et c’est bien ainsi. Evitons les principales erreurs, informons-nous, laissons-nous sentir si notre attitude est juste pour nous et quels besoins l’enfant exprime. Un mixte entre les connaissances théoriques de l’éducation, le ressenti des parents et le ressenti des enfants donne généralement un assez bon résultat.
La construction de l’enfant pourrait se résumer au résultat de la multiplication suivante :
Réponse aux besoins corporels X témoignages d’affection X stimulation intellectuelle X accompagnement à la sociabilité. Inutile de chercher à surperformer sur certains facteurs. Par contre soyons très vigilent à ce qu’aucun des facteurs ne soit inférieur à 1. Si un seul de ces facteurs est égal à 0, alors l’ensemble est réduit à 0.
Jean-Louis Lamouille est psychologue du travail à Grenoble / Isère.
Il intervient sur toute la région Rhône Alpes en entreprise (Diagnostic social) pour la qualité de vie au travail, la prévention du burn-out, les risques psycho-sociaux.
Il pratique la sophrologie, la Gestalt-thérapie et la médiation.